A l'inverse, et car il faut également voir le verre à moitié plein, 53 % des jeunes diplômés en 2012 exerçaient un travail en septembre.
Un an après la fin de leurs études, 47 % des étudiants diplômés seraient encore sans emploi. Un résultat bien noir mais qui démontrer une amélioration de 3 % par rapport à l'an passé, où 50 % d'entre eux pointaient encore à Pôle Emploi.
Parmi ces jeunes professionnels, de niveau bac + 2 au moins, 31 % auraient, tout de même, occupé un emploi à durée indéterminée, mais étaient toutefois sans emploi au moment de la réalisation de cette enquête. Plus grave, 16 % d'entre eux n'auraient jamais exercé la moindre activité professionnelle depuis l'obtention de leur diplôme, bien que ce nombre soit en baisse de 3 % par rapport à 2012.
A l'inverse, et car il faut également voir le verre à moitié plein, 53 % des jeunes diplômés en 2012 exerçaient un travail en septembre. Parmi eux, 16 % avaient des contrats de moins de six mois comme par exemple des contrats d'alternance, 37 % détenaient même un CDI ou un contrat de six mois au moins, un chiffre en augmentation de 3 % en 2012.
La situation s'est donc légèrement améliorée depuis 2012, sans pour autant permettre de revenir au niveau de 2011, lorsque 58% des jeunes étaient en emploi, souligne l'AFIJ.
L'enquête -- qui ne prétend pas être représentative de l'ensemble des jeunes diplômés mais donner des indications sur les tendances -- a été réalisée fin septembre auprès d'un échantillon de 934 jeunes diplômés en 2012 inscrits à l'AFIJ.
Parmi ces jeunes professionnels, de niveau bac + 2 au moins, 31 % auraient, tout de même, occupé un emploi à durée indéterminée, mais étaient toutefois sans emploi au moment de la réalisation de cette enquête. Plus grave, 16 % d'entre eux n'auraient jamais exercé la moindre activité professionnelle depuis l'obtention de leur diplôme, bien que ce nombre soit en baisse de 3 % par rapport à 2012.
A l'inverse, et car il faut également voir le verre à moitié plein, 53 % des jeunes diplômés en 2012 exerçaient un travail en septembre. Parmi eux, 16 % avaient des contrats de moins de six mois comme par exemple des contrats d'alternance, 37 % détenaient même un CDI ou un contrat de six mois au moins, un chiffre en augmentation de 3 % en 2012.
La situation s'est donc légèrement améliorée depuis 2012, sans pour autant permettre de revenir au niveau de 2011, lorsque 58% des jeunes étaient en emploi, souligne l'AFIJ.
L'enquête -- qui ne prétend pas être représentative de l'ensemble des jeunes diplômés mais donner des indications sur les tendances -- a été réalisée fin septembre auprès d'un échantillon de 934 jeunes diplômés en 2012 inscrits à l'AFIJ.