Deux facteurs d'hésitation encore présents
Le Baromètre du numérique est une étude annuelle menée par le CREDOC faisant le point sur les équipements et les usages des Français vis-à-vis d’Internet. Un des nombreux aspects intéressants de cette étude concerne les freins qui peuvent encore exister à l’achat en ligne.
Selon ce baromètre, les deux principaux facteurs d’hésitation des Français vis-à-vis du e-Commerce concernent le fait de ne pas pouvoir bien se représenter les produits (apparence, toucher) et la question de la sécurité des paiements en ligne. Pour désamorcer ces freins à l’achat, les acteurs de la vente en ligne peuvent donc miser sur le potentiel des applications de la réalité augmentée ou s’appuyer sur une stratégie multicanale (intégration de la vente physique). Mais il faut également poursuivre les efforts en matière de cybersécurité, pour la confiance de leurs clients.
Selon ce baromètre, les deux principaux facteurs d’hésitation des Français vis-à-vis du e-Commerce concernent le fait de ne pas pouvoir bien se représenter les produits (apparence, toucher) et la question de la sécurité des paiements en ligne. Pour désamorcer ces freins à l’achat, les acteurs de la vente en ligne peuvent donc miser sur le potentiel des applications de la réalité augmentée ou s’appuyer sur une stratégie multicanale (intégration de la vente physique). Mais il faut également poursuivre les efforts en matière de cybersécurité, pour la confiance de leurs clients.
Une fréquence d’achat plus élevée
Comme l’an dernier, 61% des personnes de 12 ans et plus ont fait des achats sur internet au cours de l’année écoulée. Si la proportion d’acheteurs évolue peu, la fréquence des achats progresse sensiblement (35% réalisant un achat par mois au moins, + 6 points en deux ans), probablement en liaison avec la reprise économique, et possiblement avec les questions de sécurisation. En population générale, la crainte liée à la sécurité des paiements recule de 9 points pour s’établir à 29%. Tandis que l’argument selon lequel ce type d’achat ne permet pas de voir ou de toucher les produits progresse (+ 4 points).
La plupart des acheteurs (94%) font leurs emplettes sur des sites français et 44% des acheteurs s’y cantonnent. Mais un peu plus d’un acheteur sur deux (54%) n’hésite pas à réaliser des transactions sur des sites étrangers. On peut y voir un autre signe d’une forme de sérénité. 54% des acheteurs sur Internet réalisent des achats de biens (uniquement et toujours hors achats alimentaires), sur des sites étrangers. En revanche, dans tous les groupes d’internautes, la réticence est forte à communiquer des informations sur sa géolocalisation (au mieux, 28% le feraient) ou ses goûts et préférences (34% au mieux).
La plupart des acheteurs (94%) font leurs emplettes sur des sites français et 44% des acheteurs s’y cantonnent. Mais un peu plus d’un acheteur sur deux (54%) n’hésite pas à réaliser des transactions sur des sites étrangers. On peut y voir un autre signe d’une forme de sérénité. 54% des acheteurs sur Internet réalisent des achats de biens (uniquement et toujours hors achats alimentaires), sur des sites étrangers. En revanche, dans tous les groupes d’internautes, la réticence est forte à communiquer des informations sur sa géolocalisation (au mieux, 28% le feraient) ou ses goûts et préférences (34% au mieux).