L’intervention d’Arnaud Montebourg, ministre du redressement productif, auprès du tribunal de commerce de Paris n’aura rien changé. La surprise n’aura pas été au rendez-vous et le dossier LFoundry s’est terminé comme tout le monde le craignait, par une liquidation judiciaire avec cessation immédiate de l’activité.
Une situation très compliquée au lendemain de Noël, pour les 613 employés de l’usine qui se verront notifier leur licenciement dans les semaines à venir, selon une source proche du dossier, car aucun repreneur n’a, pour l’instant, émis d’offre de reprise.
Nombre de personnes espéraient que la demande du ministre du Redressement Productif, un délai de trois mois supplémentaires, aurait été accueillie par le tribunal de commerce de Paris ce qui aurait laissé une ouverture à la reprise de l’usine. En effet, dans la question de la reprise, une société spécialisée dans la micro-électronique californienne aurait émis une possibilité de reprise sous réserve du maintien de l’activité.
Mais bien que cette possibilité ne soit pas totalement écartée, les chances pour qu’elle aboutisse s’amoindrissent fortement avec la prononciation de la cessation immédiate de l’activité de la part du tribunal qui a, dans la foulée, nommé Me Stéphane Gorrias en tant que liquidateur judiciaire.
L’usine de Rosset, en Provence-Alpes-Côte-D’Azur avait été fondée en 1985 par des ingénieurs puis avait rejoint le groupe américain Atmel. En 2010, ce dernier la cède au groupe allemand LFoundry pour un euro symbolique et, depuis cette cession, les problèmes financiers se sont cumulés jusqu’à la liquidation judiciaire.
Une situation très compliquée au lendemain de Noël, pour les 613 employés de l’usine qui se verront notifier leur licenciement dans les semaines à venir, selon une source proche du dossier, car aucun repreneur n’a, pour l’instant, émis d’offre de reprise.
Nombre de personnes espéraient que la demande du ministre du Redressement Productif, un délai de trois mois supplémentaires, aurait été accueillie par le tribunal de commerce de Paris ce qui aurait laissé une ouverture à la reprise de l’usine. En effet, dans la question de la reprise, une société spécialisée dans la micro-électronique californienne aurait émis une possibilité de reprise sous réserve du maintien de l’activité.
Mais bien que cette possibilité ne soit pas totalement écartée, les chances pour qu’elle aboutisse s’amoindrissent fortement avec la prononciation de la cessation immédiate de l’activité de la part du tribunal qui a, dans la foulée, nommé Me Stéphane Gorrias en tant que liquidateur judiciaire.
L’usine de Rosset, en Provence-Alpes-Côte-D’Azur avait été fondée en 1985 par des ingénieurs puis avait rejoint le groupe américain Atmel. En 2010, ce dernier la cède au groupe allemand LFoundry pour un euro symbolique et, depuis cette cession, les problèmes financiers se sont cumulés jusqu’à la liquidation judiciaire.