Entre la technologie incontournable et les normes à respecter, une cuisine professionnelle est un investissement conséquent qui plaide en faveur d’une maintenance préventive. Vos clients sont-ils conscients des enjeux de maintenance ?
Une cuisine professionnelle coûte plus cher qu’une voiture de luxe, elle consomme énormément d’énergie, et intègre de la technologie, pour délivrer quotidiennement une prestation de restauration à la hauteur des attentes de ses utilisateurs professionnels. Dès lors, il est indispensable de mettre tout en œuvre pour atteindre ce résultat 365 jours par an.
Nos clients sont bien évidemment conscients de l’intérêt d’apporter le plus grand soin à l’entretien du matériel et d’en limiter les surconsommations d’énergie. A notre niveau, nous faisons effort de pédagogie pour aller au-delà, en incitant à des actions de maintenance préventive. Cette maintenance préventive procède d’une méthode d’analyse permettant de détecter les points de vigilance sur l’équipement et d’anticiper les failles durant son utilisation.
Les contrats de maintenance que vous allez proposer à vos clients engendrent nécessairement un engagement dans le temps. Est-ce qu’ils peuvent constituer un investissement rentable pour vos clients, soucieux du rapport coût/opportunité ?
Un contrat de maintenance est d’abord un accord moral entre notre client et nous-mêmes pour faire en sorte que le matériel en place puisse rendre le service optimal avec la plus grande fiabilité possible. Ce contrat engage notre entreprise dans son diagnostic et dans la qualité de l’entretien, et le client dans l’utilisation qu’il fait du matériel dont il dispose. Un contrat de maintenance, c’est avant tout une garantie partagée d’efficacité et de sérénité.
Concrètement, quelle forme cette maintenance prend-elle pour vos clients et comme assurez vous le suivi, sachant que vous êtes déployés partout en France ?
Le groupe Quietalis est un groupe national. Pour des clients d’envergure nationale, un contrat de maintenance peut donc être négocié pour l’ensemble de l’hexagone et déployé selon un cahier des charges précis dans chacun des sites d’un client, partout en France à travers nos 20 agences régionales.
Mais le groupe Quietalis se veut également proche de ses clients locaux, et chaque directeur d’agence, véritable patron local, a le pouvoir de négocier un contrat de maintenance avec un client de sa région. Il ne s’agit pas d’imposer un éventuel modèle ou schéma de maintenance standardisé à des acteurs locaux, mais de nous adapter aux besoins et aux spécificités de chaque client, indépendamment du nombre des équipements concernés.
Vos fournisseurs y trouvent-ils également un intérêt ?
Le groupe Quietalis se définit comme un installateur « Indépendant-Multimarque-National ». Nous souhaitons entretenir des liens durables avec les fournisseurs industriels, qui apportent l’innovation dont le marché a besoin pour garder son dynamisme. Et ce qui sert l’image et la réputation de fiabilité d’un produit sert également nos fournisseurs.
Pour autant, il est important que nous restions proches de nos clients et de leurs véritables attentes afin de répondre au mieux et avec pertinence à leurs besoins. Cela, bien sûr, en conservant notre compétitivité.
La maintenance préventive ne met pas à l’abri des imprévus. Pour les établissements devant assurer une continuité de service, comment intervenez-vous en réaction, au-delà de la seule prévention ?
Avant toute contractualisation d’accord de maintenance, nous rencontrons plusieurs fois nos clients potentiels, afin de comprendre comment ils exercent leur métier. Nous nous devons de définir les zones critiques qui influeront sur le contenu de notre contrat de maintenance.
Vous comprendrez aisément que la criticité dépend de la nature même de l’établissement concerné. Quietalis intervient en restauration commerciale, mais également en établissement de santé, d’éducation, dans les prisons ou dans la restauration d’entreprise. Nous adaptons notre « réponse » et les moyens engagés au cas par cas, avec chacun de nos clients, selon les urgences identifiées et les contraintes inhérentes à chaque site.
Efforts des fabricants pour limiter la consommation d’énergie des appareils, équipements frigorifiques plus propres et plus performants, de nouveaux moyens pour traiter les déchets : peut-on parler de l’avènement de « cuisines durables » ?
Je reviens du Sirha Green, qui s’est déroulé le 18 juin dernier et j’ai eu le plaisir de participer à une table ronde avec le président du Syndicat de l’équipement des grandes cuisines (SYNEG), mais aussi avec le président la fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l'Ingénierie et du Numérique (CINOV), ainsi qu’avec des industriels fournisseurs de produits détergents.
De l’avis de tous, la cuisine durable n’est pas un mythe, elle proviendra d’une démarche collective « Eco-Responsable » de chacun des membres de la chaîne de valeur.
Nous sommes d’accord pour dire que le sujet nous concerne tous et que nous devons trouver des réponses dans chacune de nos corporations : chacun, à son niveau, porte une part de responsabilité dans la définition de ce que sera une cuisine « durable demain ». La maintenance, en premier lieu destinée à maintenir les équipements en parfait état de fonctionnement le plus longtemps possible, s’inscrit pleinement pour nous dans une logique « durable ».
Une cuisine professionnelle coûte plus cher qu’une voiture de luxe, elle consomme énormément d’énergie, et intègre de la technologie, pour délivrer quotidiennement une prestation de restauration à la hauteur des attentes de ses utilisateurs professionnels. Dès lors, il est indispensable de mettre tout en œuvre pour atteindre ce résultat 365 jours par an.
Nos clients sont bien évidemment conscients de l’intérêt d’apporter le plus grand soin à l’entretien du matériel et d’en limiter les surconsommations d’énergie. A notre niveau, nous faisons effort de pédagogie pour aller au-delà, en incitant à des actions de maintenance préventive. Cette maintenance préventive procède d’une méthode d’analyse permettant de détecter les points de vigilance sur l’équipement et d’anticiper les failles durant son utilisation.
Les contrats de maintenance que vous allez proposer à vos clients engendrent nécessairement un engagement dans le temps. Est-ce qu’ils peuvent constituer un investissement rentable pour vos clients, soucieux du rapport coût/opportunité ?
Un contrat de maintenance est d’abord un accord moral entre notre client et nous-mêmes pour faire en sorte que le matériel en place puisse rendre le service optimal avec la plus grande fiabilité possible. Ce contrat engage notre entreprise dans son diagnostic et dans la qualité de l’entretien, et le client dans l’utilisation qu’il fait du matériel dont il dispose. Un contrat de maintenance, c’est avant tout une garantie partagée d’efficacité et de sérénité.
Concrètement, quelle forme cette maintenance prend-elle pour vos clients et comme assurez vous le suivi, sachant que vous êtes déployés partout en France ?
Le groupe Quietalis est un groupe national. Pour des clients d’envergure nationale, un contrat de maintenance peut donc être négocié pour l’ensemble de l’hexagone et déployé selon un cahier des charges précis dans chacun des sites d’un client, partout en France à travers nos 20 agences régionales.
Mais le groupe Quietalis se veut également proche de ses clients locaux, et chaque directeur d’agence, véritable patron local, a le pouvoir de négocier un contrat de maintenance avec un client de sa région. Il ne s’agit pas d’imposer un éventuel modèle ou schéma de maintenance standardisé à des acteurs locaux, mais de nous adapter aux besoins et aux spécificités de chaque client, indépendamment du nombre des équipements concernés.
Vos fournisseurs y trouvent-ils également un intérêt ?
Le groupe Quietalis se définit comme un installateur « Indépendant-Multimarque-National ». Nous souhaitons entretenir des liens durables avec les fournisseurs industriels, qui apportent l’innovation dont le marché a besoin pour garder son dynamisme. Et ce qui sert l’image et la réputation de fiabilité d’un produit sert également nos fournisseurs.
Pour autant, il est important que nous restions proches de nos clients et de leurs véritables attentes afin de répondre au mieux et avec pertinence à leurs besoins. Cela, bien sûr, en conservant notre compétitivité.
La maintenance préventive ne met pas à l’abri des imprévus. Pour les établissements devant assurer une continuité de service, comment intervenez-vous en réaction, au-delà de la seule prévention ?
Avant toute contractualisation d’accord de maintenance, nous rencontrons plusieurs fois nos clients potentiels, afin de comprendre comment ils exercent leur métier. Nous nous devons de définir les zones critiques qui influeront sur le contenu de notre contrat de maintenance.
Vous comprendrez aisément que la criticité dépend de la nature même de l’établissement concerné. Quietalis intervient en restauration commerciale, mais également en établissement de santé, d’éducation, dans les prisons ou dans la restauration d’entreprise. Nous adaptons notre « réponse » et les moyens engagés au cas par cas, avec chacun de nos clients, selon les urgences identifiées et les contraintes inhérentes à chaque site.
Efforts des fabricants pour limiter la consommation d’énergie des appareils, équipements frigorifiques plus propres et plus performants, de nouveaux moyens pour traiter les déchets : peut-on parler de l’avènement de « cuisines durables » ?
Je reviens du Sirha Green, qui s’est déroulé le 18 juin dernier et j’ai eu le plaisir de participer à une table ronde avec le président du Syndicat de l’équipement des grandes cuisines (SYNEG), mais aussi avec le président la fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l'Ingénierie et du Numérique (CINOV), ainsi qu’avec des industriels fournisseurs de produits détergents.
De l’avis de tous, la cuisine durable n’est pas un mythe, elle proviendra d’une démarche collective « Eco-Responsable » de chacun des membres de la chaîne de valeur.
Nous sommes d’accord pour dire que le sujet nous concerne tous et que nous devons trouver des réponses dans chacune de nos corporations : chacun, à son niveau, porte une part de responsabilité dans la définition de ce que sera une cuisine « durable demain ». La maintenance, en premier lieu destinée à maintenir les équipements en parfait état de fonctionnement le plus longtemps possible, s’inscrit pleinement pour nous dans une logique « durable ».