Le gouvernement a donné son feu vert aux banques grecques pour émettre des obligations pour 2 milliards d’euros avec échéance moyenne, 5 ans. Une opération que le pays n’avait pas réalisée depuis près de quatre ans alors que les obligations à long terme (10 ans) ont vu leur rendement chuter en 2013.
L’opération, étonnante, a vivement été critiquée par l’opposition au gouvernement d’Antonis Samaras. Elle estime que cette opération ne sert que d’opération d’image alors que la chancelière allemande Angela Merkel est attendue dans le pays pour une visite le vendredi 11 avril 2014. L’opposition estime que le pays « ne peut pas se permettre de payer les intérêts ».
Et si le chômage reste encore à des niveaux records (27% de la population active est sans emploi en Grèce), il semblerait que malgré les critiques de l’opposition cette émission obligataire soit une manière de dire et surtout de montrer que la crise est bel et bien finie.
En février, dans le pays, les ventes de voiture ont bondi de 33% tandis que la production industrielle a augmenté de 1,7% peu de choses contre la perte de pouvoir d’achat de 30% en cinq ans, une dette publique qui a atteint 175% du PIB et, surtout, les quelques 240 milliards d’euros de prêts que le pays a obtenu pour tenter de se remettre sur pieds.
L’opération, étonnante, a vivement été critiquée par l’opposition au gouvernement d’Antonis Samaras. Elle estime que cette opération ne sert que d’opération d’image alors que la chancelière allemande Angela Merkel est attendue dans le pays pour une visite le vendredi 11 avril 2014. L’opposition estime que le pays « ne peut pas se permettre de payer les intérêts ».
Et si le chômage reste encore à des niveaux records (27% de la population active est sans emploi en Grèce), il semblerait que malgré les critiques de l’opposition cette émission obligataire soit une manière de dire et surtout de montrer que la crise est bel et bien finie.
En février, dans le pays, les ventes de voiture ont bondi de 33% tandis que la production industrielle a augmenté de 1,7% peu de choses contre la perte de pouvoir d’achat de 30% en cinq ans, une dette publique qui a atteint 175% du PIB et, surtout, les quelques 240 milliards d’euros de prêts que le pays a obtenu pour tenter de se remettre sur pieds.