Alors qu'une nouvelle marque du groupe, Seat, a avoué ce mardi 29 septembre 2015 avoir également triché sur le contrôle de 700 000 véhicules (ce qui n'augmente pas le nombre total de véhicules concernés), Volkswagen doit trouver une solution rapidement pour remettre les véhicules en circulation aux normes européennes.
Matthias Muller, nouveau PDG de Volkswagen après la démission de Martin Winterkorn, a donc annoncé un "plan global" pour s'assurer que les voitures respectent la réglementation en vigueur. Cela signifie un plan global pour réparer les moteurs incriminés.
Cette annonce, qui n'est pour l'instant pas plus détaillée, est une réponse aux autorités allemandes qui ont donné un ultimatum au groupe de Wolfsburg : le groupe a jusqu'au 7 octobre pour présenter un plan de mise aux normes des 11 millions de véhicules pour lesquels Volkswagen a triché.
Ce plan de rappel risque fort de coûter une fortune à Volkswagen mais le groupe ne peut pas y faire l'impasse. Ce sera le seul moyen de tourner la page du plus gros scandale l'ayant frappé depuis sa création. Les propriétaires des véhicules seront, selon Matthias Muller, contactés "dans les jours à venir" a-t-il déclaré à l'agence Reuters.
Le scandale a déjà coûté cher au groupe qui a perdu 40% de sa capitalisation boursière par rapport au vendredi 18 septembre 2015, jour où le scandale a éclaté.
Matthias Muller, nouveau PDG de Volkswagen après la démission de Martin Winterkorn, a donc annoncé un "plan global" pour s'assurer que les voitures respectent la réglementation en vigueur. Cela signifie un plan global pour réparer les moteurs incriminés.
Cette annonce, qui n'est pour l'instant pas plus détaillée, est une réponse aux autorités allemandes qui ont donné un ultimatum au groupe de Wolfsburg : le groupe a jusqu'au 7 octobre pour présenter un plan de mise aux normes des 11 millions de véhicules pour lesquels Volkswagen a triché.
Ce plan de rappel risque fort de coûter une fortune à Volkswagen mais le groupe ne peut pas y faire l'impasse. Ce sera le seul moyen de tourner la page du plus gros scandale l'ayant frappé depuis sa création. Les propriétaires des véhicules seront, selon Matthias Muller, contactés "dans les jours à venir" a-t-il déclaré à l'agence Reuters.
Le scandale a déjà coûté cher au groupe qui a perdu 40% de sa capitalisation boursière par rapport au vendredi 18 septembre 2015, jour où le scandale a éclaté.