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Si le discours d’Emmanuel Macron n’est pas nouveau, c’est peut-être la première fois qu’il est repris par un ministre, et qui plus est le ministre de l’Economie. Et il faut dire qu’il n’a pas tort. En 2013 la France a versé 40,1 milliards d’euros de dividendes à ses actionnaires, un record.
Le ministre de l’Economie fait une comparaison avec l’Allemagne où, d’après lui, les entreprises ont la vision inverse. « Les Allemands ont une préférence continue pour l’emploi et l’investissement » a-t-il déclaré devant les experts comptables. Et c’est ce qui ferait sa force. La France, au contraire, « à une préférence continue pour une augmentation des salaires et des dividendes. »
Une manière de penser qui, selon le ministre de l’Economie, est un problème. « Ca n’est pas une bonne chose pour le pays » a-t-il déclaré avant d’enfoncer le clou : « Et si nous continuons indéfiniment à défendre ceux qui ont un emploi et ceux qui ont des actions ça n'est pas comme ça que nous mènerons ce pays plus loin »
Il porte toutefois en exemple les entreprises familiales qui « peuvent dans la durée ne pas se servir de dividendes » tandis que ce sont les grandes entreprises qui sont montrées du doigt. Pour Emmanuel Macron, nombreuses sont celles qui « ont préféré servir des dividendes à l’investissement ».
Le ministre de l’Economie fait une comparaison avec l’Allemagne où, d’après lui, les entreprises ont la vision inverse. « Les Allemands ont une préférence continue pour l’emploi et l’investissement » a-t-il déclaré devant les experts comptables. Et c’est ce qui ferait sa force. La France, au contraire, « à une préférence continue pour une augmentation des salaires et des dividendes. »
Une manière de penser qui, selon le ministre de l’Economie, est un problème. « Ca n’est pas une bonne chose pour le pays » a-t-il déclaré avant d’enfoncer le clou : « Et si nous continuons indéfiniment à défendre ceux qui ont un emploi et ceux qui ont des actions ça n'est pas comme ça que nous mènerons ce pays plus loin »
Il porte toutefois en exemple les entreprises familiales qui « peuvent dans la durée ne pas se servir de dividendes » tandis que ce sont les grandes entreprises qui sont montrées du doigt. Pour Emmanuel Macron, nombreuses sont celles qui « ont préféré servir des dividendes à l’investissement ».