Alors que le chômage ne cesse de croître en France, il est évident que la question du rachat d’Alstom pose la question du maintien de l’emploi dans l’industrie. Un rachat, s’il est fait pour la survie du groupe, reste avant tout pour les Français une question d’emploi et ils ne voudraient pas qu’une telle opération entraîne une fermeture et la destruction de postes.
General Electric prend donc les devants de cette potentielle critique avant même que Siemens ne se soit prononcé sur la question. GE promet non seulement le maintien des emplois actuellement existant dans l’Hexagone mais également la création de 1 000 « emplois industriels » sous trois ans. Une création « nette » d’après ce qu’a déclaré une source proche du dossier à l’AFP.
Ainsi faisant, General Electric tente de se mettre dans la poche le gouvernement qui, depuis le décret Montebourg, a son mot à dire sur tout rachat d’une entreprise française par une entreprise étrangère. Et GE sait que le gouvernement est moins sensible aux 12,35 milliards d’euros mis sur la table pour le rachat de la branche énergie d’Alstom qu’à la question de l’emploi.
Mais, surtout, General Electric va forcer, de fait, Siemens à proposer quelque chose d’équivalent en termes d’emplois. L’entreprise allemande a annoncé qu’elle allait proposer une offre au plus tard le 26 juin 2014.
General Electric prend donc les devants de cette potentielle critique avant même que Siemens ne se soit prononcé sur la question. GE promet non seulement le maintien des emplois actuellement existant dans l’Hexagone mais également la création de 1 000 « emplois industriels » sous trois ans. Une création « nette » d’après ce qu’a déclaré une source proche du dossier à l’AFP.
Ainsi faisant, General Electric tente de se mettre dans la poche le gouvernement qui, depuis le décret Montebourg, a son mot à dire sur tout rachat d’une entreprise française par une entreprise étrangère. Et GE sait que le gouvernement est moins sensible aux 12,35 milliards d’euros mis sur la table pour le rachat de la branche énergie d’Alstom qu’à la question de l’emploi.
Mais, surtout, General Electric va forcer, de fait, Siemens à proposer quelque chose d’équivalent en termes d’emplois. L’entreprise allemande a annoncé qu’elle allait proposer une offre au plus tard le 26 juin 2014.