Finalement, ce sera Edf qui aura eu raison : le Conseil d'Etat a invalidé l'arrêté de 2014 estimant, dans son communiqué, que "les tarifs “bleus résidentiels” et les tarifs “verts” avaient été fixés par l’arrêté à un niveau manifestement insuffisant pour assurer le rattrapage des écarts tarifaires passés. Le Conseil d’Etat annule donc l’arrêté pour ce qui concerne ces tarifs".
Pour les ménages, c'est une mauvaise nouvelle car ils devront compenser le manque à gagner des énergéticiens, et ce rétroactivement. Le Conseil d'Etat a en effet obligé le gouvernement à prendre un nouvel arrêté dans les trois mois suivant cette décision. Ce nouvel arrêté entraînera, de fait, une forte augmentation des tarifs bleus et verts de l'énergéticien public et, par la même occasion, des tarifs des autres énergéticiens qui se basent sur ceux d'EDF pour calculer les leurs.
La hausse surviendra donc à la fin de l'été, ce qui causera une augmentation au moment même où les températures recommenceront à chuter. Les ménages devront donc faire face à un trou dans leur budget ce qui risque de poser problème, notamment au niveau de la consommation, moteur de l'économie française.
Pour les ménages, c'est une mauvaise nouvelle car ils devront compenser le manque à gagner des énergéticiens, et ce rétroactivement. Le Conseil d'Etat a en effet obligé le gouvernement à prendre un nouvel arrêté dans les trois mois suivant cette décision. Ce nouvel arrêté entraînera, de fait, une forte augmentation des tarifs bleus et verts de l'énergéticien public et, par la même occasion, des tarifs des autres énergéticiens qui se basent sur ceux d'EDF pour calculer les leurs.
La hausse surviendra donc à la fin de l'été, ce qui causera une augmentation au moment même où les températures recommenceront à chuter. Les ménages devront donc faire face à un trou dans leur budget ce qui risque de poser problème, notamment au niveau de la consommation, moteur de l'économie française.