Pas d’accord entre la direction et les syndicats depuis près d’un mois
Ce n’est pas une menace de dernière minute que celle des deux syndicats majoritaires des stewards et hôtesses de l’air, le SNGAF et l’Unac. Ils avaient prévenu la direction dès mi-novembre 2022 en déposant leur préavis de grève pour la fin de l’année. Avec l’espoir que le risque de voir les vols être perturbés fasse plier l’entreprise.
Car il est question d’accord sur les conditions d’emploi. Le dernier en date n’est plus effectif depuis fin octobre 2022 et n’aurait été prolongé que par une note de la direction. Mais cette note ne vaut pas accord et, selon les informations du Figaro, les syndicats et les salariés craignent le pire. La direction pourrait en effet changer la donne, comme les horaires de travail, simplement en émettant une nouvelle note. Une incertitude que les salariés n’acceptent pas.
Car il est question d’accord sur les conditions d’emploi. Le dernier en date n’est plus effectif depuis fin octobre 2022 et n’aurait été prolongé que par une note de la direction. Mais cette note ne vaut pas accord et, selon les informations du Figaro, les syndicats et les salariés craignent le pire. La direction pourrait en effet changer la donne, comme les horaires de travail, simplement en émettant une nouvelle note. Une incertitude que les salariés n’acceptent pas.
Les vols de Noël et du Jour de l’An toujours menacés
Selon les informations du Figaro, le préavis de grève court donc toujours. Et il pourrait frapper au pire moment : la grève commencerait le 22 décembre 2022 et se terminerait le 2 janvier 2023. Autant dire que les voyages de Noël et du Jour de l’An sont menacés.
Surtout que selon le journal, ce sont les vols intérieurs qui seraient surtout touchés. Mais rien n’est joué : les grévistes doivent se déclarer au moins 48 heurs en avance, et les syndicats d’Air France ont déjà obtenu gain de cause sur d’autres sujets, notamment les salaires.
Surtout que selon le journal, ce sont les vols intérieurs qui seraient surtout touchés. Mais rien n’est joué : les grévistes doivent se déclarer au moins 48 heurs en avance, et les syndicats d’Air France ont déjà obtenu gain de cause sur d’autres sujets, notamment les salaires.