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La fusion serait achevée par les maison-mères russe et chinoise des opérateurs en question, respectivement Wind et 3 Italia. Ainsi faisant l'Italie se retrouvera avec seulement trois opérateurs, les restants étant l'historique Telecom Italia et le britannique Vodafone. Mais ce n'est pas là le plus gros chamboulement que va subir le secteur en Italie.
La fusion de 3 Italia et de Wind va créer un super groupe qui prendra directement la première place en Italie avec quelques 31 millions d'abonnés mobiles et 2,8 millions d'abonnés dans le fixe. Au total, cela représentera 33,5% de parts de marché soit plus que les 32,3% de Telecom et les 27% de Vodafone.
Les pourparlers auront toutefois été longs entre le chinois CK Hutchinson et le russe VimpelCom : pas moins de cinq ans de contacts divers et huit mois de négociations auront été nécessaires pour arriver à un compromis et un accord. L'autorité de la Concurrence italienne doit maintenant valider, ou invalider, le projet.
Le secteur des télécoms italien se renforce donc sur un marché arrivé à saturation comme l'ont fait précédemment le Royaume-Uni ou encore l'Allemagne et l'Irlande. En France les acteurs pressent pour repasser à trois opérateurs après l'arrivée de Free Mobile en janvier 2012 mais les tentatives ne cessent d'échouer, comme la tentative de Numericable-SFR de racheter Bouygues Telecom.
La fusion de 3 Italia et de Wind va créer un super groupe qui prendra directement la première place en Italie avec quelques 31 millions d'abonnés mobiles et 2,8 millions d'abonnés dans le fixe. Au total, cela représentera 33,5% de parts de marché soit plus que les 32,3% de Telecom et les 27% de Vodafone.
Les pourparlers auront toutefois été longs entre le chinois CK Hutchinson et le russe VimpelCom : pas moins de cinq ans de contacts divers et huit mois de négociations auront été nécessaires pour arriver à un compromis et un accord. L'autorité de la Concurrence italienne doit maintenant valider, ou invalider, le projet.
Le secteur des télécoms italien se renforce donc sur un marché arrivé à saturation comme l'ont fait précédemment le Royaume-Uni ou encore l'Allemagne et l'Irlande. En France les acteurs pressent pour repasser à trois opérateurs après l'arrivée de Free Mobile en janvier 2012 mais les tentatives ne cessent d'échouer, comme la tentative de Numericable-SFR de racheter Bouygues Telecom.