La plainte avait été déposée en janvier 2014 par la WARF, la Fondation de Recherche des Etudiants du Wisconsin et concernait un brevet que l'Université du Wisconsin a déposé en 1998. Selon la WARF Apple violait ce brevet portant sur un système d'amélioration des performances d'une puce électronique dans ses derniers modèles de puce.
Très précisément la plainte vise les puces A7, A8 et A8X installées dans les iPhone 5s, 6 et 6 Plus de la marque à la pomme. Mais pour cette dernière le brevet n'était pas valable et elle a même tenté, en vain, de demander à l'Office national des Brevets des Etats-Unis de réviser la propriété de ce dernier. Mais l'Office a refusé d'accueillir la demande d'Apple.
Mardi 13 octobre 2015, donc, le verdict est tombé : les jurés ont estimé qu'Apple était effectivement coupable de violation de brevet et qu'elle devra payer les dommages et intérêts en conséquence. Selon les premières estimations la somme pourrait atteindre 862 millions de dollars, notamment si il est prouvé qu'Apple avait conscience de violer un brevet mais qu'elle l'a fait quand même.
Et, surtout, Apple a un autre procès qui lui pend au nez : la même WARF a déposé en septembre 2015 une autre plainte contre la marque de Cupertino visant, cette fois, les processeurs A9 et A9X installés dans les derniers iPad Pro et les iPhone 6s et 6s Plus soit les derniers sortis.
Très précisément la plainte vise les puces A7, A8 et A8X installées dans les iPhone 5s, 6 et 6 Plus de la marque à la pomme. Mais pour cette dernière le brevet n'était pas valable et elle a même tenté, en vain, de demander à l'Office national des Brevets des Etats-Unis de réviser la propriété de ce dernier. Mais l'Office a refusé d'accueillir la demande d'Apple.
Mardi 13 octobre 2015, donc, le verdict est tombé : les jurés ont estimé qu'Apple était effectivement coupable de violation de brevet et qu'elle devra payer les dommages et intérêts en conséquence. Selon les premières estimations la somme pourrait atteindre 862 millions de dollars, notamment si il est prouvé qu'Apple avait conscience de violer un brevet mais qu'elle l'a fait quand même.
Et, surtout, Apple a un autre procès qui lui pend au nez : la même WARF a déposé en septembre 2015 une autre plainte contre la marque de Cupertino visant, cette fois, les processeurs A9 et A9X installés dans les derniers iPad Pro et les iPhone 6s et 6s Plus soit les derniers sortis.