Le DieselGate a explosé en septembre 2015 et près d'un an après il continue de faire parler de lui. Après un accord amiable dans le volet civil de l'affaire, accord dans lequel Volkswagen a accepté de payer près de 15 milliards de dollars d'amende et de remboursements divers, en plus des réparations des modèles sur lesquels le groupe a installer le logiciel truqueur, voilà que le très craint volet pénal pourrait s'ouvrir.
Selon le Financial Times, l'enquête des autorités américaines aurait permis de collecter des documents à charge de certains responsables de Volkswagen, américains et autres. Des éléments qui pourraient permettre de soutenir une accusation grave : celle "d'actes criminels". Si tel était le cas, le risque que des peines de prison soient prononcées deviendrait réel, une publicité que Volkswagen voudra à tout prix éviter.
Parmi les éléments à charge contre les dirigeants du constructeur allemands, selon les informations du Financial Times, il y aurait même un Powerpoint datant de 2006 dans lequel le fonctionnement et l'utilité du logiciel pour tromper les tests d'émissions des autorités américaines sont expliqués de manière précise. Un document qui prouve quasiment à lui seul que certains responsables étaient plus qu'au courant des actions du groupe et de la fraude.
Volkswagen, qui lutte déjà pour redorer son image, voudra éviter à tout prix que le nom de certains de ses dirigeants ne soit associé à des peines de prison. Il est donc possible qu'un nouvel accord amiable, dont le montant pourrait facilement dépasser le milliard de dollars, sera conclu entre les deux parties.
Selon le Financial Times, l'enquête des autorités américaines aurait permis de collecter des documents à charge de certains responsables de Volkswagen, américains et autres. Des éléments qui pourraient permettre de soutenir une accusation grave : celle "d'actes criminels". Si tel était le cas, le risque que des peines de prison soient prononcées deviendrait réel, une publicité que Volkswagen voudra à tout prix éviter.
Parmi les éléments à charge contre les dirigeants du constructeur allemands, selon les informations du Financial Times, il y aurait même un Powerpoint datant de 2006 dans lequel le fonctionnement et l'utilité du logiciel pour tromper les tests d'émissions des autorités américaines sont expliqués de manière précise. Un document qui prouve quasiment à lui seul que certains responsables étaient plus qu'au courant des actions du groupe et de la fraude.
Volkswagen, qui lutte déjà pour redorer son image, voudra éviter à tout prix que le nom de certains de ses dirigeants ne soit associé à des peines de prison. Il est donc possible qu'un nouvel accord amiable, dont le montant pourrait facilement dépasser le milliard de dollars, sera conclu entre les deux parties.