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En juillet 2014, lorsque la fusion entre Lafarge et Holcim avait été annoncée, les accords étaient assez clairs : une parité entre les deux groupes (soit une action d'Holcim pour une action de Lafarge) et la nomination à la tête du nouveau groupe LafargeHolcim de Bruno Lafont, actuellement PDG de Lafarge. De quoi permettre un équilibre dans les forces en jeu.
Sauf que ce dimanche 15 mars 2015 Lafarge a reçu un courrier de la part d'Holcim : le groupe suisse veut un peu changer les cartes en jeu. Notamment car le titre de Lafarge a chuté en Bourse ce qui remet en cause sa valeur. Holcim propose donc désormais 0,875 action Holcim pour une action Lafarge, soit 12,5% de moins que prévu. Un sujet que Lafarge, dans un communiqué publié ce lundi 16 mars 2015, est prêt à discuter.
Mais c'est un autre point qui risque d'être plus tendu : la question du PDG du nouveau groupe LafargeHocim, un géant qui devrait avoir quelques 130 000 employés et 30 milliards d'euros de chiffre d'affaires. En juillet 2014 il avait été prévu que ce soit Bruno Lafont, PDG de Lafarge, qui soit nommé.
Le conseil d'administration d'Holcim n'est plus de cet avis. Et sur cette question le français Lafarge ne désire pas discuter. Ce qui risquer de créer un blocage majeur.
Sauf que ce dimanche 15 mars 2015 Lafarge a reçu un courrier de la part d'Holcim : le groupe suisse veut un peu changer les cartes en jeu. Notamment car le titre de Lafarge a chuté en Bourse ce qui remet en cause sa valeur. Holcim propose donc désormais 0,875 action Holcim pour une action Lafarge, soit 12,5% de moins que prévu. Un sujet que Lafarge, dans un communiqué publié ce lundi 16 mars 2015, est prêt à discuter.
Mais c'est un autre point qui risque d'être plus tendu : la question du PDG du nouveau groupe LafargeHocim, un géant qui devrait avoir quelques 130 000 employés et 30 milliards d'euros de chiffre d'affaires. En juillet 2014 il avait été prévu que ce soit Bruno Lafont, PDG de Lafarge, qui soit nommé.
Le conseil d'administration d'Holcim n'est plus de cet avis. Et sur cette question le français Lafarge ne désire pas discuter. Ce qui risquer de créer un blocage majeur.