L'Unef s'est réunie ce mardi 1er mars 2016 pour décider de la suite des événements et, surtout, décider si elle allait ou non inciter les étudiants et les lycéens à descendre dans la rue. Une telle possibilité a de quoi faire craindre le pire au gouvernement : la dernière mobilisation de l'Unef remonte à 2006 lors de la loi CPE présentée par Dominique de Villepin. Le gouvernement avait alors fait marche arrière face à des mois de blocage de la part des étudiants.
S'il n'est pas encore question de blocages, l'Unef a bien pris position contre la Loi Travail : dans un communiqué elle appelle les étudiants à descendre dans la rue le 9 mars 2016 aux côtés des opposants au texte qui ont déjà prévu une cinquantaine de manifestations dans toute la France. Pour l'Unef "avec ce projet de loi, le gouvernement franchit une ligne rouge grave".
La mobilisation de l'Unef a été suivie par les syndicats des lycéens ainsi que les autres syndicats de jeunes. Une mauvaise nouvelle pour le gouvernement qui a déjà reporté de deux semaines la présentation du texte en Conseil des Ministres. Initialement prévue pour le 9 mars, la présentation n'aura lieu que le 24 mars.
Mais l'Unef, comme nombre d'opposants et de syndicats (notamment FO), demande le retrait du texte et annonce que la mobilisation des étudiants durera jusqu'à l'obtenir.
S'il n'est pas encore question de blocages, l'Unef a bien pris position contre la Loi Travail : dans un communiqué elle appelle les étudiants à descendre dans la rue le 9 mars 2016 aux côtés des opposants au texte qui ont déjà prévu une cinquantaine de manifestations dans toute la France. Pour l'Unef "avec ce projet de loi, le gouvernement franchit une ligne rouge grave".
La mobilisation de l'Unef a été suivie par les syndicats des lycéens ainsi que les autres syndicats de jeunes. Une mauvaise nouvelle pour le gouvernement qui a déjà reporté de deux semaines la présentation du texte en Conseil des Ministres. Initialement prévue pour le 9 mars, la présentation n'aura lieu que le 24 mars.
Mais l'Unef, comme nombre d'opposants et de syndicats (notamment FO), demande le retrait du texte et annonce que la mobilisation des étudiants durera jusqu'à l'obtenir.