Le projet de loi dans les cartons du gouvernement chinois, mais qui n'est pas encore d'actualité, obligerait les compagnies proposant des services similaires aux taxis de prendre en charge une grande partie des frais... comme le font les taxis. Ce projet de loi vise tout particulièrement Uber, qui a déclaré récemment que la Chine est son plus gros marché potentiel derrière les Etats-Unis, ainsi que son application rivale Didi Kuaidi (qui a récemment investi dans la compagnie rivale d'Uber aux Etats-Unis, Lyft).
La nouvelle réglementation demanderait aux compagnies de s'assurer que les conducteurs aient un minimum de trois ans d'expérience et qu'ils ne travaillent que pour une compagnie à la fois. Un problème pour les chauffeurs qui peuvent aujourd'hui cumuler des courses chez Uber et ses rivaux.
De plus, les entreprises de VTC devront enregistrer les véhicules comme taxis, les assurer ainsi que les passagers, et signer des contrats de travail avec les conducteurs.
C'est clairement le business model d'Uber et Didi Kuaidi (et les autres) qui est visé. Ces groupes peuvent se permettre d'être compétitifs par rapport aux taxis car ils ne possèdent aucune voiture, ne prennent pas en charge les frais et n'ont aucun employé qui soit chauffeur. Leurs seuls revenus sont liés aux frais de mise en relation entre le client et le chauffeur par le biais de leur application.
Si la réglementation passe, mais rien n'est encore joué ni définitif, Uber risque d'avoir du mal à suivre...
La nouvelle réglementation demanderait aux compagnies de s'assurer que les conducteurs aient un minimum de trois ans d'expérience et qu'ils ne travaillent que pour une compagnie à la fois. Un problème pour les chauffeurs qui peuvent aujourd'hui cumuler des courses chez Uber et ses rivaux.
De plus, les entreprises de VTC devront enregistrer les véhicules comme taxis, les assurer ainsi que les passagers, et signer des contrats de travail avec les conducteurs.
C'est clairement le business model d'Uber et Didi Kuaidi (et les autres) qui est visé. Ces groupes peuvent se permettre d'être compétitifs par rapport aux taxis car ils ne possèdent aucune voiture, ne prennent pas en charge les frais et n'ont aucun employé qui soit chauffeur. Leurs seuls revenus sont liés aux frais de mise en relation entre le client et le chauffeur par le biais de leur application.
Si la réglementation passe, mais rien n'est encore joué ni définitif, Uber risque d'avoir du mal à suivre...