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La décision risque d'en surprendre plus d'un et surtout pourrait donner des idées ailleurs en Europe (bien que la Croatie n'étant pas dans la zone euro elle a plus de marge de manœuvre que la Grèce par exemple) : 60 000 personnes voient en ce lundi 2 février 2015 toutes leurs dettes effacées. Et ce sont les 60 000 les plus pauvres du pays.
Dans un accord signé entre le gouvernement et les créditeurs, notamment les banques, les opérateurs de téléphonie ou encore les opérateurs publics, les dettes de ces 60 000 croates seront effacées. Sans que le gouvernement ne procède à un remboursement quelconque de ces créances.
Cette décision coûtera quelques 270 millions d'euros aux créditeurs mais permettra, selon le gouvernement, un "nouveau départ" pour cette population en difficulté qui représente 1,7% de la population totale de la Croatie.
Mais ne sont éligibles que les personnes ayant des dettes de moins de 4 500 euros, un revenu mensuel inférieur à 162 euros et, surtout, aucune propriété ni aucune somme d'argent mise de côté.
Ainsi faisant, ces quelques 60 000 personnes retrouveront l'accès à leurs comptes bancaires. Ces derniers ont été bloqués pour 317 000 personnes dans le pays (7,2% de la population totale) à cause du surendettement de la population et d'une série de crédits toxiques.
Dans un accord signé entre le gouvernement et les créditeurs, notamment les banques, les opérateurs de téléphonie ou encore les opérateurs publics, les dettes de ces 60 000 croates seront effacées. Sans que le gouvernement ne procède à un remboursement quelconque de ces créances.
Cette décision coûtera quelques 270 millions d'euros aux créditeurs mais permettra, selon le gouvernement, un "nouveau départ" pour cette population en difficulté qui représente 1,7% de la population totale de la Croatie.
Mais ne sont éligibles que les personnes ayant des dettes de moins de 4 500 euros, un revenu mensuel inférieur à 162 euros et, surtout, aucune propriété ni aucune somme d'argent mise de côté.
Ainsi faisant, ces quelques 60 000 personnes retrouveront l'accès à leurs comptes bancaires. Ces derniers ont été bloqués pour 317 000 personnes dans le pays (7,2% de la population totale) à cause du surendettement de la population et d'une série de crédits toxiques.