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C'est une bonne nouvelle pour le constructeur français qui était en difficulté il y a encore un an, des difficultés issues notamment d'un marché de l'automobile en berne en Europe et qui commence à montrer des signes fiables de reprise : PSA Peugeot Citroën revient dans le CAC40 ce lundi 23 mars 2015 après une absence de plus de ans.
C'était en septembre 2012 que PSA perdait sa place alors que le groupe était dans le CAC40 depuis sa création en 1987. Mais depuis plusieurs choses ont changé : le capital du groupe s'est ouvert aux chinois de Dongfeng et à l'Etat français qui détiennent désormais 14% du groupe chacun et, surtout, Carlos Tavares en a pris les rênes en 2014 avec, semble-t-il, du succès.
Mais le nombre de sociétés cotées au CAC40 étant limité, le retour de PSA Peugeot Citroën signifie le départ d'une autre entreprise. En l'occurrence c'est le spécialiste français de la sécurité Gemalto, l'une des rares valeurs technologiques de l'indice, qui en sort après seulement quelques années. Gemalto avait rejoint le CAC40 en décembre 2012.
La sortie de Gemalto s'est faite sur fond des révélations de plusieurs attaques informatiques visant à copier et contrôler des cartes SIM que les gouvernements britannique et américain ont menées entre 20110 et 2011 et qui aurait touché plusieurs millions de cartes SIM.
C'était en septembre 2012 que PSA perdait sa place alors que le groupe était dans le CAC40 depuis sa création en 1987. Mais depuis plusieurs choses ont changé : le capital du groupe s'est ouvert aux chinois de Dongfeng et à l'Etat français qui détiennent désormais 14% du groupe chacun et, surtout, Carlos Tavares en a pris les rênes en 2014 avec, semble-t-il, du succès.
Mais le nombre de sociétés cotées au CAC40 étant limité, le retour de PSA Peugeot Citroën signifie le départ d'une autre entreprise. En l'occurrence c'est le spécialiste français de la sécurité Gemalto, l'une des rares valeurs technologiques de l'indice, qui en sort après seulement quelques années. Gemalto avait rejoint le CAC40 en décembre 2012.
La sortie de Gemalto s'est faite sur fond des révélations de plusieurs attaques informatiques visant à copier et contrôler des cartes SIM que les gouvernements britannique et américain ont menées entre 20110 et 2011 et qui aurait touché plusieurs millions de cartes SIM.