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Un tract de la CGT a fait paniquer la Bourse ce jeudi 14 janvier 2016 : la DGCCRF a mené des perquisitions chez Renault concernant les émissions de ses moteurs Diesel. Très rapidement l'ombre d'un scandale semblable à celui de Volkswagen a incité les investisseurs à vendre massivement les actions Renault... et l'entreprise a perdu quelques 4 milliards d'euros.
Le gouvernement, actionnaire du constructeur, a rassuré rapidement : Ségolène Royal a affirmé que Renault n'avait pas installé de logiciel truqueur sur ses moteurs comme l'a fait le constructeur allemand. Mais s'il n'y a pas fraude, les émissions n'en resteraient pas moins supérieures aux limites.
Selon des sources les modèles principalement concernés sont les Renault Captur et les Renault Espace. Deux modèles stratégiques pour la marque, surtout le Captur, SUV qui a eu énormément de succès auprès du public et qui permet à Renault d'avoir vu ses ventes grimper en flèche en 2015.
Les responsables du constructeur ont été entendus ce lundi 18 janvier 2016 par la commission gouvernementale en charge de l'enquête sur ces fraudes. Il semblerait que les émissions sur route des moteurs de Renault soient supérieures à la limite autorisée par l'Union Européenne, fixée à deux fois les émissions en laboratoire.
Le constructeur français a déjà annoncé que des mesures seront prises et un plan pour remettre en conformité les modèles concernés sera présenté dans les semaines à venir.
Le gouvernement, actionnaire du constructeur, a rassuré rapidement : Ségolène Royal a affirmé que Renault n'avait pas installé de logiciel truqueur sur ses moteurs comme l'a fait le constructeur allemand. Mais s'il n'y a pas fraude, les émissions n'en resteraient pas moins supérieures aux limites.
Selon des sources les modèles principalement concernés sont les Renault Captur et les Renault Espace. Deux modèles stratégiques pour la marque, surtout le Captur, SUV qui a eu énormément de succès auprès du public et qui permet à Renault d'avoir vu ses ventes grimper en flèche en 2015.
Les responsables du constructeur ont été entendus ce lundi 18 janvier 2016 par la commission gouvernementale en charge de l'enquête sur ces fraudes. Il semblerait que les émissions sur route des moteurs de Renault soient supérieures à la limite autorisée par l'Union Européenne, fixée à deux fois les émissions en laboratoire.
Le constructeur français a déjà annoncé que des mesures seront prises et un plan pour remettre en conformité les modèles concernés sera présenté dans les semaines à venir.