David Lowery est un homme aux profils multiples : mathématicien et intervenant à l'Université de Georgie, il est également le leader de deux groupes de musique dont les titres sont disponibles sur Spotify. Or, selon lui, quatre morceaux de ses deux groupes, Cracker et Camper van Beethoven, sont à disposition des utilisateurs alors même que Spotify serait conscient de ne pas payer l'intégralité des droits d'auteur.
La plainte a été déposée au nom de "centaines de milliers" de potentiel plaignants et réclame quelques 150 millions de dollars au site qui se serait "injustement enrichi" sur le dos des artistes. Selon David Lowery, en effet, Spotify n'aurait pas payé un type de royalties très particulier, les "droits de reproduction mécanique".
Ces droits sont relatifs à l'enregistrement d'une œuvre et jusqu'à aujourd'hui personne n'a considéré Spotify comme un support identique aux CD ou aux Vinyles, supports classiques pour de la musique. Pour David Lowery, toutefois, c'est bien le cas et Spotify devrait payer les droits de reproduction mécanique aux ayants-droit puisqu'il copie les morceaux et les diffuse. Chose que le site ne fait pas.
"Si le tribunal ne refrène pas le comportement de Spotify, le plaignant et les membres du recours collectif continueront d'être victimes de graves préjudices, qui ne peuvent pas bénéficier de simples compensations financières" estime David Lowery dans sa plainte.
La plainte a été déposée au nom de "centaines de milliers" de potentiel plaignants et réclame quelques 150 millions de dollars au site qui se serait "injustement enrichi" sur le dos des artistes. Selon David Lowery, en effet, Spotify n'aurait pas payé un type de royalties très particulier, les "droits de reproduction mécanique".
Ces droits sont relatifs à l'enregistrement d'une œuvre et jusqu'à aujourd'hui personne n'a considéré Spotify comme un support identique aux CD ou aux Vinyles, supports classiques pour de la musique. Pour David Lowery, toutefois, c'est bien le cas et Spotify devrait payer les droits de reproduction mécanique aux ayants-droit puisqu'il copie les morceaux et les diffuse. Chose que le site ne fait pas.
"Si le tribunal ne refrène pas le comportement de Spotify, le plaignant et les membres du recours collectif continueront d'être victimes de graves préjudices, qui ne peuvent pas bénéficier de simples compensations financières" estime David Lowery dans sa plainte.