L'affaire avait déjà fait grand bruit aux Etats-Unis : des chauffeurs d'Uber ont porté plainte contre le groupe demandant à ce que leur soit reconnu le statut de salariés. La justice 'a pas encore tranché sur cette affaire, épineuse pour la start-up, que déjà une autre plainte similaire a été déposée.
Cette fois ce sont les chauffeurs britanniques d'Uber qui attaquent en justice la start-up. Une plainte collective a été déposée car les chauffeurs veulent bénéficier des mêmes avantages que les salariés. OR jusqu'à présent les chauffeurs sont considérés comme des indépendants.
L'avocat spécialisé dans le droit du travail Nigel Mackay va donc mener le combat avec ses collègues pour tenter de faire changer le statut des chauffeurs du groupe. Il veut les faire passer "d'indépendants" à "travailleurs" ce qui devrait leur garantir un salaire minimum, des congés payés, des congés maternités et une limitation du travail de nuit. Parmi d'autres choses.
Naturellement tous ces avantages, si l'avocat gagne, devront être payés par Uber ce qui met à mal son business model. Mais le combat judiciaire risque d'être long. En attendant Nigel Mackay tente de trouver plus de chauffeurs qui voudraient porter plainte afin de donner à cette affaire le poids d'un recours collectif.
Il ne s'attend toutefois pas à être entendu par le tribunal avant 2016.
Cette fois ce sont les chauffeurs britanniques d'Uber qui attaquent en justice la start-up. Une plainte collective a été déposée car les chauffeurs veulent bénéficier des mêmes avantages que les salariés. OR jusqu'à présent les chauffeurs sont considérés comme des indépendants.
L'avocat spécialisé dans le droit du travail Nigel Mackay va donc mener le combat avec ses collègues pour tenter de faire changer le statut des chauffeurs du groupe. Il veut les faire passer "d'indépendants" à "travailleurs" ce qui devrait leur garantir un salaire minimum, des congés payés, des congés maternités et une limitation du travail de nuit. Parmi d'autres choses.
Naturellement tous ces avantages, si l'avocat gagne, devront être payés par Uber ce qui met à mal son business model. Mais le combat judiciaire risque d'être long. En attendant Nigel Mackay tente de trouver plus de chauffeurs qui voudraient porter plainte afin de donner à cette affaire le poids d'un recours collectif.
Il ne s'attend toutefois pas à être entendu par le tribunal avant 2016.