Ce mardi 25 août 2015 le conseil municipal de Rio de Janeiro a donné son avis concernant UberPop. Un avis largement défavorable puisque l'interdiction a quasiment fait l'unanimité : 42 votes pour, 1 vote contre et 5 abstentions. De fait UberPop est donc désormais interdite aussi à Rio de Janeiro.
L'interdiction ne sera toutefois pas valable jusqu'à ce que le maire de la ville, Eduardo Paes, ne ratifie la décision. Il a deux semaines pour ce faire et il ne semble pas y avoir de raisons pour qu'il ne le fasse pas. La municipalité de Rio de Janeiro a en effet été obligée de décider de l'avenir d4Uber après de grosses manifestations de taxis en juillet 2015 qui ont littéralement paralysé la ville durant les heures de pointe. Plus d'un millier de taxis avaient alors manifesté contre ce qu'ils estiment être de la concurrence déloyale.
Car les revendications des taxis sont toujours les mêmes : ils ne veulent pas que des chauffeurs non agrémentés prennent leur travail en ayant moins de frais et moins de contrôles. Ce ne sera plus le cas à Rio qui rejoint de fait Brasilia, la capitale brésilienne, et Sao Paulo, la plus grosse ville du pays.
Uber a toutefois fait savoir qu'il continuera de faire fonctionner son service malgré l'interdiction exposant ainsi ses chauffeurs à l'amende de 550 dollars prévue par la nouvelle loi ainsi qu'à de possibles répercussions juridiques et judiciaires.
L'interdiction ne sera toutefois pas valable jusqu'à ce que le maire de la ville, Eduardo Paes, ne ratifie la décision. Il a deux semaines pour ce faire et il ne semble pas y avoir de raisons pour qu'il ne le fasse pas. La municipalité de Rio de Janeiro a en effet été obligée de décider de l'avenir d4Uber après de grosses manifestations de taxis en juillet 2015 qui ont littéralement paralysé la ville durant les heures de pointe. Plus d'un millier de taxis avaient alors manifesté contre ce qu'ils estiment être de la concurrence déloyale.
Car les revendications des taxis sont toujours les mêmes : ils ne veulent pas que des chauffeurs non agrémentés prennent leur travail en ayant moins de frais et moins de contrôles. Ce ne sera plus le cas à Rio qui rejoint de fait Brasilia, la capitale brésilienne, et Sao Paulo, la plus grosse ville du pays.
Uber a toutefois fait savoir qu'il continuera de faire fonctionner son service malgré l'interdiction exposant ainsi ses chauffeurs à l'amende de 550 dollars prévue par la nouvelle loi ainsi qu'à de possibles répercussions juridiques et judiciaires.