La jeune femme de 27 ans suivait une formation dans une PME de la région de Toulouse dans le cadre de son inscription à Pôle Emploi mais elle n'a pas obtenu de contrat. Selon ce qu'elle a rapporté aux médias, toutefois, la raison pour laquelle elle n'a pas été embauchée serait très particulière : il ne s'agit pas d'un manque de qualifications mais d'un problème de prénom.
Elle s'appelle Marion et, dans cette PME, il y a une autre Marion qui est commerciale. L'employeur a donc demandé à la jeune femme en période d'essai de changer de prénom afin que les clients ne confondent pas les deux personnes. Une demande réitérée à plusieurs reprises à laquelle Marion ne s'est évidemment pas pliée.
L'employeur a donc refusé de l'embaucher et a même écrit sur le motif de non recrutement "Problème d'identité au sein de la société deux mêmes prénoms non voulu par direction". Pourtant, comme Marion l'a souligné, le patronyme, distinct, suffisait pour les distinguer. Selon l'intéressée la question du prénom n'aurait été qu'un prétexte pour ne pas procéder à l'embauche.
Interrogé par La Dépêche du Midi, l'employeur a reconnu avoir pris la décision de ne pas embaucher la deuxième Marion. Une affaire qui pourrait se retrouver aux Prud'Hommes mais, pour l'instant, l'intéressée n'a pas communiqué si elle avait l'intention de saisir la justice.
Elle s'appelle Marion et, dans cette PME, il y a une autre Marion qui est commerciale. L'employeur a donc demandé à la jeune femme en période d'essai de changer de prénom afin que les clients ne confondent pas les deux personnes. Une demande réitérée à plusieurs reprises à laquelle Marion ne s'est évidemment pas pliée.
L'employeur a donc refusé de l'embaucher et a même écrit sur le motif de non recrutement "Problème d'identité au sein de la société deux mêmes prénoms non voulu par direction". Pourtant, comme Marion l'a souligné, le patronyme, distinct, suffisait pour les distinguer. Selon l'intéressée la question du prénom n'aurait été qu'un prétexte pour ne pas procéder à l'embauche.
Interrogé par La Dépêche du Midi, l'employeur a reconnu avoir pris la décision de ne pas embaucher la deuxième Marion. Une affaire qui pourrait se retrouver aux Prud'Hommes mais, pour l'instant, l'intéressée n'a pas communiqué si elle avait l'intention de saisir la justice.