L'avocat Quin Emanuel, spécialisé dans les Class Actions et très connu dans le monde du business, aurait été commissionné par le groupe Bentham pour préparer un dossier et attaquer en justice Volkswagen. Ce seraient les actionnaires qui sont à l'origine de cette énième affaire judiciaire alors même que le groupe ne sait pas encore ce qu'il encoure comme amendes pour fraude un peu partout dans le monde.
Selon les informations du Sunday Telegraph les actionnaires pourraient tenter de demander quelques 40 milliards d'euros de dommages et intérêts mais la somme paraît absurde. Toutefois il pourrait s'agir d'une plainte à plusieurs centaines de millions voire quelques milliards d'euros qui pend au nez du groupe de Wolfsburg.
La plainte se base sur le côté "caché" de cette affaire : Volkswagen a en effet omis de communiquer à ses actionnaires, notamment les plus importants, l'utilisation de ces logiciels fraudeurs. Et ce depuis 2009. Assez, selon Quin Emanuel, pour porter la chose devant les juges fédéraux allemands.
Mais pour l'instant le dossier n'est pas encore complet et il manque des actionnaires à l'appel : le fonds souverain norvégien, détenteur de 2% des actions, et surtout le fonds souverain qatarien qui détient, lui, 17% du capital du groupe. Et ils pourraient facilement se joindre à la cause puisque le groupe a perdu quelques 25 milliards d'euros en Bourse après la chute vertigineuse de l'action.
Quin Emanuel espère pouvoir déposer sa plainte dès janvier 2016.
Selon les informations du Sunday Telegraph les actionnaires pourraient tenter de demander quelques 40 milliards d'euros de dommages et intérêts mais la somme paraît absurde. Toutefois il pourrait s'agir d'une plainte à plusieurs centaines de millions voire quelques milliards d'euros qui pend au nez du groupe de Wolfsburg.
La plainte se base sur le côté "caché" de cette affaire : Volkswagen a en effet omis de communiquer à ses actionnaires, notamment les plus importants, l'utilisation de ces logiciels fraudeurs. Et ce depuis 2009. Assez, selon Quin Emanuel, pour porter la chose devant les juges fédéraux allemands.
Mais pour l'instant le dossier n'est pas encore complet et il manque des actionnaires à l'appel : le fonds souverain norvégien, détenteur de 2% des actions, et surtout le fonds souverain qatarien qui détient, lui, 17% du capital du groupe. Et ils pourraient facilement se joindre à la cause puisque le groupe a perdu quelques 25 milliards d'euros en Bourse après la chute vertigineuse de l'action.
Quin Emanuel espère pouvoir déposer sa plainte dès janvier 2016.