Dans le dossier Alstom, General Electric est déjà en bonne posture auprès du conseil d’administration du groupe français pour le rachat de sa filiale énergie. Mais face au nouveau concurrent, Siemens, et malgré ce dernier n’ait pas encore formulé son offre, General Electric met en avant une proposition complémentaire afin de plaire, aussi, au gouvernement. Car ce dernier pencherait plutôt pour l’offre de l’allemand afin qu’Alstom reste européen, à défaut de pouvoir rester français.

La France connait un regain d'attractivité, mais le pays n'est que troisième en Europe.

L’approche des élections européennes y est sans doute pour quelque chose mais la chancelière allemande Angela Merkel a une fois de plus critiqué le droit de la concurrence en Europe qui crée non pas un marché unique mais bien une multitude de petits marchés. Pour elle il faudrait que les acteurs importants des divers secteurs industriels soient internationaux, européens.

L'institution prévoit 0,2% de croissance pour le deuxième trimestre en France.

Le feuilleton du rachat d'Alstom s'est accéléré ces dernières heures.

La semaine après les fêtes de Pâques s’ouvre avec de gros changements possibles dans l’industrie pharmaceutique dont un qui pourrait être la plus grosse opération jamais réalisée dans le secteur : le rachat par Pzifer de son concurrent britannique AstraZeneca. Une opération qui pourrait atteindre les 100 milliards de dollars.

Manuel Valls a donné quelques détails sur le catalogue d'économies.

Depuis la crise économique mondiale, que la Grèce a subie de plein fouet, le pays n’avait pas émis d’obligations. C’est désormais chose faite avec la première émission que l’opposition a toutefois critiquée estimant qu’il ne s’agit que d’une opération de marketing et d’image en vue de la visite de la chancelière allemande dans le pays.

Les start-up françaises lèvent beaucoup plus d'argent en mars.